Le déclic ! Je vais conter…

Ce week-end, je suis aux abonnées absentes. Ce week-end, je vais conter. Oui, madame, conter. Non, monsieur, pas des comptes d’argent mais des contes d’histoires.

Alors que ça doit bien faire un mois entier et plein que je réfléchis à l’histoire que j’aurais envie de conter, alors que depuis une dizaine de jours environ, j’avais enfin choisi, préparé et mis en bouche mon conte « Aphone », voila-t-il pas que ce matin, alors que les poules (et le reste de la maisonnée) dorment encore, je suis prise de frénésie de partage et je change mon histoire.

Et c’est bien de cela qu’il s’agit : une histoire. MON histoire ! Un chapitre de mon histoire, un chapitre de ma vie !

Le déclic a été sur papier. Comme presque toujours j’ai envie de dire.

Comme expliqué dans un précédent article, il y a toujours deux passions qui se disputent le haut de la place dans mon cœur : l’écriture et l’oralisation des histoires lues. Je ne sais pourquoi, je ne sais si c’est la nuit courte, coupée de reveils, les changements dans mon train-train quotidien de ces derniers temps ou tout simplement la stimulation de la reprise d’activités en présentiel, mais l’idée de conter mes propres contes écrits ne me semble plus si juste, si belle, si naturelle. J’ai toujours tendance à rester dans « l’écris » et à l’oral, ça ne passe pas toujours bien. Mon imagination à voix haute est ridige, c’est mon plus gros travail…

Cela fait pourtant quelques années que je suis des formations et autres stages liés aux contes, et que donc je sais et je connais les ingrédients nécessaires, utiles et indispensables à une bonne recette. Mais entre savoir et mettre en pratique ces connaissances, il y avait en moi toujours un pont difficile à franchir.

Et j’ai franchi ce pont ce matin, vers les 6h30. Je m’en suis rendu compte dans la forme de mon écriture manuscrite : pressée, moche mais pleine de dynamisme et d’idées.

Joie en moi ! J’ai écrit l’introduction au conte puis j’adapterai à l’oral de courts passages de la fin de mon dernier recueil « Raconter des salades de contes ».

Car bien sûr, dans tout ce que j’écris, il y a une part de vérité. Même dans les histoires abracadabrantes que je « ponds » !

Il en sera de même pour l’histoire que je vais conter ce week-end pu le 2e week-end de cette formation avec Stéphane Van Hoecke. La seule différence, cette fois-ci, sera qu’une grande partie sera tirée de faits réels et seulement un soupçon d’imagination…

Ça sentira le vécu, le partage, l’humour et… les contes bien sûr !

livre : La petite fille du Togo

Il est là, mon dernier livre écrit : un conte pour enfants « La petite fille du Togo ». Si ce livre, je l’ai écrit toute seule, il est né si beau, si magnifique, grâce à ma maman qui m’a permis d’utiliser sa toile « Coucher de soleil dans la savane »qui a allié technique de serviette collée et peintures, mais aussi et bien sûr grâce aux illustrations de Lili, fille de mon amie Élise qui avait 11 ans quand elle a dessiné tous ces animaux d’Afrique.

Ce livre, cette histoire, ce conte, je l’ai écrit pour mon filleul Gédéon qui vit au Togo. Une vie précaire, difficile, mais une vie remplie d’amour, d’amitiés et d’espoir. Mais mon héros n’est pas un petit garçon, mon héroïne s’appelle Bineta et c’est une fille. Quand j’ai écrit « La petite fille du Togo », j’avais déjà en tête l’histoire d’une enfant, une histoire avec des animaux et avec de la magie. Un jour, par un message privé du papa de la jeune illustratrice Lili, je découvre « Yalla ! En Avant ! », une association caritative (qui se situe près de chez moi) qui vient en aide aux enfants en grande précarité, d’ici et d’ailleurs. J’ai vu sa photo, la photo de Gédéon, parmi des centaines d’autres enfants du Togo, du Bénin et du Burkina Faso. Allez savoir pourquoi, sans doute le destin, c’est lui que j’ai eu envie de parrainer pour la première fois. Moins de quinze jours plus tard, en pleine écriture du livre, je parrainais avec mon amie Élise une petite fille du Bénin : Sahadath !

Cette histoire est devenue la leur. Je n’ai cessé de penser à Gédéon bien sûr, car c’est un peu, beaucoup, l’histoire de sa vie, son histoire, sa vie, qui a été le déclencheur de la trame de « La petite fille du Togo ». Et dans ma tête, mon héroïne Bineta avait le visage de Sahadath. Bineta et Sahadath ont le même âge. et on retrouve Gédéon, son prénom, lui, mon filleul, aussi dans un chapitre du livre.

« La petite fille du Togo » est vendu au profit de l’association Yalla ! En Avant !. L’entièreté des bénéfices leur sera reversé. En trois parties. Une partie pour le Togo, pays de Gédéon. Une partie pour le Bénin, pays de Sahadath. Et une partie pour le Burkina Faso pour aider aussi le pays du filleul de ma maman.

Pour le Togo, l’argent reversé grâce à la vente de mon livre servira à fabriquer un moulin qui permettra d’être générateur d’un revenu. Ce revenu permettra à son tour d’aider l’association qui s’occupe des enfants parrainés à Kpalimé, la région de mon filleul.

Au Burkina Faso, l’argent reversé grâce à la vente de mon livre servira (partiellement) à la création d’un poulailler à Arbolé. Encore une AGR, Activité Génératrice de Revenus. Une activité plus importante et plus chère que la construction d’un petit moulin « personnel » à moudre des tomates, du soja et des piments, car il faut acheter un terrain, construire un poulailler et acheter des poules pondeuses et des poulets de ferme. Mais, je ne suis pas seule à investir dans cet AGR et il verra bientôt le jour grâce aux nombreux donateurs.

En effet, nous aimons bien la citation :

« Donne un poisson à un homme, il mangera un jour.Apprends lui à pêcher, il mangera toute sa vie »

Pour le Bénin, pays de ma filleule, l’argent reversé grâce à la vente de mon livre servira directement aux parents de Sahadath. En effet, sa maman a comme projet la fabrication d’épices. Pour ce faire, elle a besoin de matériel, tant pour la fabrication des épices que pour les mettre en boîtes afin de les vendre. La commercialisation de ces épices « maison » va garantir un revenu pour toute la famille.



Vous pourrez vous le procurez de diverses manières et à divers endroits :

  • en passant commande chez moi, avec possibilité de dédicace et marque-pages. C’est le meilleur moyen pour moi, car je pourrai reverser un maximum à Yalla ! En Avant ! En effet, grâce à ma commande à mon nom d’autrice, je payerai moins chers les livres et si je calcule bien, 50% de chaque vente sera directement comptabilisé pour l’association.
  • en commandant directement sur le site d‘Atramenta
  • format papier ou numérique !
  • au Human store (à Chênée) de Yalla ! En Avant !
  • Certains seront en dépôt chez « mes » libraires préférés à Embourg et Liège (Librairie Le Plaisir de Lire à Embourg, La Parenthèse du centre de Liège)
  • Chez Livr’Ensemble (avec en prime, une chronique géniale :-) )

Résumé de l‘histoire

Lecture à voix haute (ma voix) du début de l’histoire (chapitre 1 et partie du 2)

J’avais fait un petit montage avec les captures d’écran de certains passages du livre, mais comme je n’ai pas de compte premium, je ne peux vous montrez cette petite vidéo (sans son). Retrouvez-moi sur Facebook @ecrimagine pour la découvrir bientôt :-)

Et dans cette attente, un diaporama des images de cette vidéo.

28/12/2021 : + 100 livres vendus et déjà 3 dons reversés pour chacun des 3 pays de mes filleuls !

Mon prochain livre au profit d’une association humanitaire

Présentation de mon second roman jeunesse

Le projet

But : autoéditer mon 5e livre

Chez qui ? Publié par et avec l’aide d’Atramenta

Pour qui ? A vendre au profit de l’association humanitaire Yalla ! En Avant !

Quantité de livres : entre 100 et 200

Concrètement, à quoi va servir l’argent de la vente des livres ? Pour les enfants parrainés (et qui n’ont pas encore de parrain/marraine) de l’Ouest-Afrique et qui vivent dans une grande précarité au Togo, au Bénin et au Burkina Faso.

Pour tous ces enfants qui n’ont pas assez à manger, qui sont malades, blessés, abandonnés, orphelins !

Le livre

Titre (provisoire) : La petite fille du Togo

Roman jeunesse, conte pour enfants à partir de 8 ans (ou plus jeune avec lecture à voix haute d’un plus grand)

Format A5

Entre 120 et 130 pages (150 au final !)

Papier bouffant crème, 80 gr ou 90 gr

Imprimeur certifié FSC & Imprim’Vert (et imprimeur à la demande)

Textes et illustrations en noir et blanc

Illustrations par Lili, future jeune artiste de 12 ans

Prix estimé à la vente : entre 10 et 12 euros/pièce

L’histoire

Bineta est une petite fille qui vit au Togo. Du jour au lendemain, elle se retrouve sans ses parents. Ils ont disparu mystérieusement. Du haut de ses cinq ans, l’enfant est déterminée à savoir ce qui leur est arrivé. Mais la voie de la vérité est longue.

La petite fille sera d’abord recueillie par un membre de sa famille, puis accompagnée par une association humanitaire qui vient en aide aux enfants précarisés comme elle.

Grâce à sa marraine de cœur, Bineta reçoit un étrange collier de pierres magiques. Celui-ci va lui permettre de communiquer avec les animaux. Certains de ces animaux sont spéciaux, mais chuuut ! Il ne faut pas ébruiter cette information, ici !

Au travers des contes d’animaux de la savane, Bineta cheminera dans sa nouvelle vie. Elle va grandir et apprendre un tas de choses. C’est entouré d’histoires, d’amour et d’amitié qu’elle parviendra au bout de sa quête.

Les remerciements spéciaux avec cadeaux

  1. Pour toutes les commandes passées directement chez moi : merci du fond de mon petit cœur + dédicace sur demande + marque-page
  2. Pour toute commande de 3 livres : idem au point 1. + un de mes 4 livres au choix en cadeau  (clic sur mon compte Atramenta plus bas) avec son marque-page inclus (en fonction du stock disponible)
  3. Pour toute commande de 6 livres ou +, vous recevrez le pack complet avec mes 4 premiers livres autoédités et leur marque-page dans chacun d’eux !

Attention : le prix demandé lors des commandes ne comprends pas les frais d’envois !


Une image, un clic pour le plein d’infos !


Marque-page sur papier recyclé, bio, 300gr, recto-verso, coins arrondis


Photomots, pic épeiche

Hier matin, j’ai eu la joie d’observer un pic épeiche sur l’arbre qui se trouve devant le salon. Mais quand j’ai sorti mon appareil photo qui était juste derrière moi, il s’est envolé, me laissant comme un goût triste d’impatience évaporée.

Quand je prenais, à tâtons, mon appareil photo sans le quitter des yeux, je lui parlais à ce petit pic. Oui, je lui disais « Va donc dans notre jardin, il y a un délicieux noisetier mort. Je suis sûre qu’il doit regorger de bon nombre de petits insectes succulent à te mettre sous le bec ». Mais, au moment de son envol, il s’était dirigé du côté opposé au jardin…

Et puis, l’après-midi, côté cuisine et donc côté jardin, ma fille s’exclame « Oh ! maman, regarde, il y a un pic dans l’arbre ». Je suis sûre que c’est le même que j’ai croisé ce matin côté salon. Il m’a donc entendue. Et cette fois, il avait de quoi manger et s’est laissé prendre en photos (derrière la vitre quand même)

Le tambourinement du pic
Raisonne dans mon cœur
Comme le cri de ta douleur

Raconter des salades… de contes, recueil de contes détournés

Aujourd’hui, 01/08/2020, je vous présente mon dernier-né en livre papier :
Raconter des salades… de contes.

Cette idée de recueil est venue grâce au challenge du Nanowrimo, où nous, « nanobes », essayons, par plaisir, par goût du jeu, par défi, d’écrire 50.000 mots sur le seul mois de novembre. Personnellement, j’aime les histoires courtes et j’adore les contes. Et cette idée faisant son petit bout de chemin, je me suis procuré le livre de Mireille Pochard Écrire des contes, 200 propositions d’écriture. Ce livre m’a été d’un grand secours, car j’ai pu piocher, par affinité, une bonne dizaine de propositions pour écrire, tous les jours, un conte différent. Au 30 novembre, mon compteur de mots affichait près de 45.000 mots pour 21 nouvelles. Je me suis arrêtée là, assez fière de moi.

Après avoir choisi quinze histoires, Stéphane Van Hoecke m’a donné son avis et son retour sur toutes mes histoires. Stéphane a fait un travail remarquable sur mon recueil. Non seulement, il m’a donné un regard critique et constructif sur mes histoires, mais il m’a aussi donné d’excellents conseils. Ce livre ne serait pas tel qu’il est là, sans lui.

Je lui cède donc la place. Stéphane Van Hoecke a écrit la préface de mon livre avec des mots si justes, si doux, si vrais.

Il faut dire que c’est lors de son stage d’initiations aux contes (novembre et décembre 2019) que j’ai pu trouver les ingrédients nécessaires à la fabrication de trois des quinze nouvelles !


Préface

Dès qu’on parle de « salade », on pense à un mélange, un ensemble de choses très diverses assemblées de façon un peu hétéroclite, apparemment désordonnée. On entend aussi des histoires, des mensonges racontés…

Et ici, l’on trouvera bien des « contes » en salade, des histoires racontées avec pour vinaigrette un imaginaire et un merveilleux bien particuliers. Et plus encore…

Un livre de recettes ?

On pourrait dire : prenez un conte traditionnel, connu, classique. Ouvrez-le, retirez-en les personnages, séparez-les, placez-les dans un autre plat, avec d’autres ingrédients, mélangez le tout, assaisonnez de multiples petites épices émotives et… observez le résultat. Et bien, c’est comme de la magie…

C’est ce que nous présente Cécile Ramaekers, l’auteure de ces pages nées au détour de divers jeux d’écriture.

Amoureuse de l’écriture, des livres, des animaux, des histoires, Cécile nous livre là un recueil d’histoires étonnantes de force et d’émotions.

Des histoires, des contes, oui !

Les contes parlent de nous tous, de nos peurs et de nos joies, de nos rêves et de nos désirs. En cela, ils se placent dans la tradition des contes classiques, ces paroles universelles qui disent l’homme au-delà du temps et de l’espace. Et ici aussi, ils sont ancrés dans notre réalité de vie sociale autour d’un village de campagne.

Vous allez être pris dans le rythme de chacune de ces histoires, où se mêlent le goût du souvenir, le plaisir du reconnu dans cette matière des contes de notre enfance et ces nouveautés, ces tours et détours neufs qui créent la surprise et un émerveillement nouveau.

L’écriture se fait tour à tour rivière et torrent, gouttelette et vapeur, et coule et glisse, légère, sauvage, réaliste et poétique tout à la fois.

Mais il y a un plus dans ce recueil.

Chaque histoire est l’occasion d’informer, d’apprendre et aussi et surtout de revendiquer, dénoncer, défendre certaines causes.

L’auteure manifeste, à travers chacune de ses histoires, sa sensibilité et son souci pour la cause animale. Le pauvre animal, si grand et fort dans les histoires, peut se révéler petit, bafoué, rejeté, pourchassé et maltraité dans la vraie vie. En lui donnant une place, un rôle, une force, une humanité pourrait-on dire, l’auteure nous le présente comme un être vivant qui a droit à tout notre respect et égard.

Je crois même que « certaines petites bêtes poilues » — des petits chats pour ne pas les nommer — ont participé à la création des histoires : leur regard, leur mouvement, leur souffle ont aidé l’auteure dans le choix des idées et des mots.

Et au-delà du genre animal, plaçons aussi le genre humain avec toutes ses difficultés, blessures et pauvretés : les personnes âgées, les malades, les enfants, les étrangers, les sans-abris, tous ces « laissés pour compte » sont devenus sous la plume de la conteuse, des « pris en conte » : reconnus, justement remis en considération.

Écrire des contes, c’est plus que raconter des histoires : c’est comprendre que les mots ont le pouvoir de nous entraîner dans un grand voyage au fond de nous-mêmes. C’est rêver, éveiller ce bonheur de vivre en chacun. Tout simplement, célébrer la beauté de la vie. Ensemble.

L’invitation est faite…

Le livre de recettes de contes est ouvert, la table est dressée, les contes sont maintenant à déguster…

Stéphane Van Hoecke


L’idée de vendre ce livre au profit de l’association Rêve d’Enfants n’est pas récente. Généralement, dans la mesure du possible, j’essaie de soutenir une association, belge, qui me tient à cœur.

Mon premier roman jeunesse Faire pousser des oiseaux, a soutenu Make a Wish (de Bruxelles). Le recueil de nouvelles « nature » Démarrer au quart de tour, m’a permis d’aider L’Aquascope de Virelles et son centre Creaves, hôpital pour les animaux sauvages.

J’aimerais pouvoir aider bien plus d’associations que ça, surtout avec la pandémie que nous connaissons actuellement, mais il me fallait faire un choix. Cette année, j’ai donc décidé de participer financièrement au rêve d’un enfant malade ou hospitalisé.

Si vous aussi, vous souhaitez m’aider dans ce projet, achetez un livre 😊

Pour mes amis qui sont en Belgique, sachez que j’aurai une réserve de ces livres à votre disposition et que si vous passez par moi, votre contribution à Rêve d’Enfants, sera doublée ! En remerciement à vos encouragements et soutiens, je glisserai un marque-pages personnalisé à l’occasion de votre achat. Dédicace offerte sur simple demande.

Mais vous pouvez bien sûr le commander dans toutes les bonnes librairies, en Belgique, en France ou ailleurs ! Pour ce faire, il vous suffit de mentionner le numéro ISBN. Un marque-page envoyé par la poste pourra toujours être d’actualité, les frais d’envois seront moins chers pour une simple lettre que pour un livre 😉

Sachez que pour ceux et celles qui habitent en France, si vous n’avez pas une librairie tout près de chez vous ou que celle-ci ne sait pas passer commande, vous pouvez toujours passer par Atramenta, les frais de port seront gratuits aussi !

Les dessins qui séparent le livre en 4 parties + la partie « explication » de mon imaginaire, on les doit à Venita Oberholster de Artsy Bee Digital.

Les illustrations du conte « La Princesse et l’Araignée », viennent de la magnifique, poétique et douce plume de Julie Koch.

Autoéditer ses livres

En attendant la réception de mon prochain recueil de contes, à paraître tout prochainement, je vous présente l’histoire, la naissance et la vie de mes trois livres autoédités avec l’aide de la plateforme Atramenta.

Par ordre de parution : 2011, 2013 et 2017

Un oiseau peut en cacher un autre, un recueil 100 % nature avec 13 petites histoires sur des animaux, dont 9 sur des oiseaux. 😁 Il est le premier livre avec lequel non seulement j’ai réfléchi à une thématique (je ne l’ai pas autoédité juste pour voir mes histoires imprimées sur du papier), mais il est aussi mon premier livre qui m’a donné envie de continuer à écrire et à poursuivre mes aventures imaginaires. (+/- 50 livres vendus offerts). Quand je le relis aujourd’hui, je constate qu’il reste certaines petites erreurs dans l’écriture, mais j’aime toujours autant les histoires qui sont nées de mon imagination. Je souhaite d’ailleurs revenir vers ce genre de textes, davantage orientés nature, avec des informations réelles sur les animaux et les végétaux.

Faire pousser des oiseaux, mon seul et unique roman jeunesse. Histoire écrite grâce à la talentueuse et pétillante Evelyne Wilwerth qui a donné régulièrement un atelier d’écriture sur plusieurs mois, qui a corrigé nos textes, qui nous a motivé à poursuivre et à atteindre le but final. Le thème était « un bazar bizarre ». À chaque rencontre, il y avait une consigne. Le but final était de transformer cette histoire en livre objet. J’en ai fait plusieurs choses : un jeu de cartes-puzzle, une histoire illustrée et un livre en papier. Je suis trop contente du résultat de tout ça. C’était il y a déjà plusieurs années, à Bruxelles. Tant les moments partagés que les objets nés de ces rencontres me resteront à jamais gravés dans mes souvenirs. Je ne pourrais terminer cette présentation sanas parler de l’extraordinaire et magnifique IzaCat qui a dessiné rien que pour moi toutes ces illustrations que l’on retrouve dans mon livre papier ! J’avais, pour ce livre, lancé un message sur Internet afin d’illustrer ce livre. J’ai choisi IzaCat et j’ai intégré tous les autres dessins en bonus à la fin du livre. Grâce à la vente de ce livre, j’ai eu l’occasion de reverser près de 500 euros à l’association Make a Wish de Bruxelles. (+/- 190 livres vendus)

Démarrer au quart de tour, recueil de courtes histoires, toutes imaginées sur base de consignes/propositions d’écriture. Entre des ateliers en ligne, mes cours d’écriture créative par correspondance et autres matériels pour débrider ma créativité, j’ai choisi un peu moins de 20 textes et j’ai essayé d’expliquer à chaque fois comment je suis arrivée là tout en notant la consigne au-préalable. J’adore le titre, car il explique à lui seul comment je démarre une histoire, un texte, un conte : je démarre au quart de tour. La photo, personnelle, utilisée pour la couverture est bien sûr un clin d’œil, car si je suis rapide pour écrire, je suis plutôt lente, très lente, en ce qui concerne les corrections et la réécriture. Ce n’est pas pour rien que des trois plus longs romans que j’ai écrit, je n’en ai encore corrigé aucun, et encore moins passé (même imaginé) le cap de la publication (rires). Ce livre a été vendu au profit du Creaves de Virelles, cet hôpital pour animaux sauvages. J’ai choisi celui-là, car Virelles est le premier endroit qui m’a poussé à m’intéresser davantage aux oiseaux et à la photo et où j’ai eu la chance, le bonheur et l’immense plaisir de voir un oiseau rare, en 2001 : la marouette ponctuée. J’ai pu reverser 250 euros pour le centre de revalidation. C’est peu, mais à cette époque, j’ai malheureusement traversé une tempête émotionnelle liée à mon travail et celle-ci m’a littéralement vidée de mon énergie. Je n’ai fait aucune pub, ou si peu, pour vendre ce livre ;-( (+/- 55 livres vendus).


Le prochain recueil à paraître aura donc comme titre « Raconter des salades… de contes« . Il aura dans son ventre une dizaine d’histoires, de contes détournés. Pour tous ces textes, je me suis inspirée du livre de Mireille Pochard : écrire des contes, 200 propositions d’écriture. Et, en même temps, je les aurai tous écrits, sauf un conte, durant le challenge du Nanowrimo qui constitue à écrire 50.000 mots sur le seul mois de novembre. Si ce livre passe toujours par Atramenta, il va être imprimé – toujours à la demande – et distribué par … Hachette ! Pourquoi ? Vu les illustrations en couleurs, pas beaucoup, elles sont 7 je pense, il était plus avantageux financièrement de passer par eux. Je pourrai ainsi vendre le livre de 158 pages à moins de 20 euros tout en reversant 3 euros à l’association Rêve d’enfants. Ce livre sera disponible en commande dans toutes les bonnes librairies. Les frais d’envoi seront gratuits pour mes amis les français. Je me chargerai par contre des envois belges pour éviter des frais de port excessif. Ils seront disponibles à la vente (en dépôt) dans certaines librairies liégeoises.

Je viens de recevoir la couverture : j’adore !

Il sera vendu au prix de 18 euros. Je vous rappelle que les 3 euros que je me « fais » en vendant ce livre iront directement pour l’association Rêve d’Enfants.

Pour mes amis belges, si vous voulez déjà en réserver un, vous pouvez dès à présent m’en informer afin que je puisse prévoir un nombre suffisant lors de ma première commande.

Pour mes autres amis, vous pourrez commander ce livre soit directement chez Atramenta ou chez votre libraire.