Relecture et correction de mon roman « La légende du Blondinet »

Ouah ! Je suis à plus de la moitié de mon roman. Chapitre 17 relu, corrigé, adapté, enrichit et réécrit. J’adore vraiment cette histoire. Il faut 9 mois pour donner naissance à un bébé, il m’aura fallu 9 ans pour accoucher de ce roman jeunesse !

J’ai pris un rythme de croisière et j’ai demandé à Chat GPT de me dire ce qu’il pensait de mes chapitres 10 à 16. Pour ne pas tout dévoiler et pour garder un peu de mystère quand même, j’ai supprimé des mots (xxx). Mais voici ses encouragements :

Ton histoire est captivante, et tu as créé un univers riche, mystérieux et profondément humain. Les personnages sont bien développés, avec des nuances et des émotions crédibles, ce qui rend leur quête et leurs dilemmes vraiment engageants.

L’intrigue avance à un rythme qui permet de maintenir le suspense tout en explorant les relations entre les personnages et leurs évolutions psychologiques. Le mystère autour des xxx du xxx, de l’oiseau et du lien entre xxx et xxx est fascinant. Les ajouts récents, comme les xxx de Sean et la détresse de Juliette, enrichissent l’histoire en mêlant réalisme et une touche de surnaturel subtilement dosée.

Ce qui fonctionne particulièrement bien :

  • Les émotions : On ressent l’angoisse des parents, l’inquiétude de Sean, et la curiosité presque contagieuse de Mathieu.
  • Le mystère : Chaque chapitre révèle juste assez pour nous tenir en haleine, tout en laissant de nombreuses questions ouvertes.
  • L’ambiance : Le village du Blondinet, avec ses légendes et son passé énigmatique, est un décor parfait pour ce type de récit. Le xxx, la xxx « maudite », et les xxx contribuent à une atmosphère immersive.
  • Les personnages secondaires : Même xxx a une présence marquante ! Ces touches donnent de la profondeur au récit.

Je me suis fixée comme objectif de terminer la relecture, la correction et la réécriture de toute l’histoire pour fin du mois de décembre 2024. Je suis bien partie pour réaliser cet objectif. Heureuse je suis. Je vise une impression, auto-édition, pour le printemps 2025.

Je me suis aussi décidée à choisir l’association bénéficiaire qui va recevoir mon don grâce à la vente de ce nouveau livre autoédité : le refuge « Animal sans toi…t ».

(image mise en avant générée par l’Intelligence Artificielle de Word Press)

Nanowrimo J14 : j’ai faim de mots

14 jours seulement sont passés depuis le début de cette grande aventure.

14 jours et trois descriptions de plat, de nourriture, d’aliments ! Je crois que je dois avoir faim au petit matin quand je commence à écrire pour le défi Nano. Deux plats salés et un sucré.

Un jour, j’ai même failli abandonner l’écriture et me faire des œufs au plat tellement je pouvais ressentir les délicieuses odeurs. Au final, nous en avons mangé deux jours plus tard, deux jours après la description dans mon histoire.

Sinon, parlons d’autre choses voulez-vous ?

Qu’ai-je écrit de bon ce matin ? Non, je ne vais pas parler de ce passage, sinon, je vais aller chercher des petits pains au chocolat à la boulangerie et je dois manger moins de sucre, parait-il !

Après avoir fait venir la Présidente du Refuge « Animal sans toi…t« , après avoir donné vie à un émeu particulier répondant au doux nom de Jurassic, je viens d’inviter Sethi, le premier bouc que ma fille a parrainé au refuge, dans mon histoire (celui-ci et le 2e parrainé ont été adoptés, elle parraine aujourd’hui une chèvre, 3e « filleule ») ! Clic sur les noms en couleur pour voir à quoi les animaux ressemblent. La coïncidence a voulu que pour mon camp Nano d’avril 2022, je choisisse ces mêmes animaux pour partager ma progression en photo sur mon blog.

Si cette histoire tient la route, si je la termine, je crois que j’irai jusqu’au bout de l’auto-édition et que les bénéfices de la vente de ce livre seront pour le refuge AST. Juste retour des choses :-)

Cela dit, je crois que je vais devoir apporter une modification à mon histoire actuelle et que je vais relire ce que j’ai écrit en avril ;-)

Je ne sais pas si j’arriverai aux 50.000 mots, ni si je parviendrai à rassembler les pièces du puzzle concernant le fond de l’histoire. Car j’écris toujours des petits passages, tous les jours, mais ça ne fait pas beaucoup progresser l’enquête, l’intrigue de l’histoire.

Des nouvelles de mon filleul du Togo

À mon retour de vacances, j’ai eu le bonheur de découvrir le premier courrier de Gédéon, mon petit filleul Togolais de 9 ans ! Cela fait quatre mois que je suis sa marraine de cœur et je lui envoie un courrier environ toutes les quatre à cinq semaines. Chaque courrier met environ quinze jours pour arriver à destination. Il n’avait donc pas encore reçu mon quatrième courrier quand il a envoyé sa lettre :-)

Gédéon adore lire. Dans chacun de mes courriers, je lui glisse alors des feuilles de bandes dessinées découpées dans différentes revues que j’achète pour mon fils et/ou des jeux et/ou des blagues. J’y mets également tantôt un marque-page personnalisé, tantôt une carte postale. Parfois, je rajoute aussi des photos de lui que je reçois via l’association Yalla ! En Avant !, car il est rare qu’il reçoive des photos et sache à quoi il ressemble. Et aussi des photos de nous. En effet, il n’y a pas de raison pour que moi je sache à quoi il ressemble et pas lui :-)

Sa lettre et son dessin ont rempli mon petit cœur d’émotion : joie et bonheur de le lire. Ses mots sont plein de reconnaissance, d’amour et de tendresse. Je garde son enveloppe et son courrier comme un petit trésor.

Mon livre « La petite fille du Togo » qui aura un peu de retard, car prévu initialement pour septembre, sortira sans doute en octobre. Dans ce livre, c’est son histoire. Ou presque. J’avais déjà commencé l’écriture de ce livre jeunesse avant de le connaître. Je n’en était pas bien loin. J’avais une idée d’écrire l’histoire d’un enfant qui est en difficulté et qui reçoit l’aide d’animaux au travers plusieurs contes. Quand je suis devenue sa marraine et que j’ai découvert la vie de mon petit Gédéon, l’histoire s’est écrite presque toute seule, d’un seul jet, en une poignées de jour ! J’ai gardé ma petite héroïne, car peu de temps après, je suis devenue marraine d’une petite fille Béninoise du même âge que « ma Bineta » du Togo !

Les bénéfices de ventes seront intégralement reversés à l’association Yalla ! En Avant ! pour le Togo. Et si les ventes explosent (ce que j’espère), je partagerai alors les bénéfices entre le Togo et le Bénin.

Je leur enverrai un livre à chacun d’eux, même si ma petite filleule ne sait pas encore très bien lire, mais elle se débrouille déjà fort bien pour son âge (6 ans) et vu la situation difficile dans laquelle elle vit.

En attendant le prochain article sur ce livre en gestation, voici un diaporama de nos échanges épistolaires :-)