Texte pressé avant de dormir

Alors que je n’ai plus écrit grand chose de créatif ces derniers temps, voilà qu’un soir caniculaire, alors que le soleil est déjà couché, mais que le thermomètre affiche une température supérieure à 28 degrés dans la chambre, les mots ci-dessous sont venus me surprendre par leur vérité et intensité.

Mon licenciement n’est que l’enveloppe du cocon dans lequel une profonde tristesse s’est installée en chrysalide.

La nymphe, ce sentiment que l’on nomme bonheur, a émergé un jour de soleil.

Ma chenille de mauvaise humeur fabriquait sa réserve de larmes pour inonder mes joues épuisées par des jeux de sourires figés depuis trop longtemps.

Aujourd’hui, mes yeux pétillent d’une liberté retrouvé.

Légèreté.