Péter les plombs … Ou pas !

La vie d’une quadra avec un geek à la maison : épisode 42, mise à jour et domotique en folie

Hier soir, je faisais la guerre à mon téléphone, car devinez quoi ? Encore une mise à jour. Sérieusement, la dernière date d’un ou deux mois, je crois (je suis une victime des mises à jour sans fin). Bref, je lance la bête. Ça prend une éternité. Une heure facile, à cause de la connexion Wi-Fi instable qui me fait vivre des montagnes russes de frustration, entre micro-coupures et « non, non, ça ne va pas redémarrer maintenant ».

Et là, comme un cadeau bonus, après cette mise à jour marathon, mon téléphone décide de me proposer une autre merveille : « Mise à jour de toutes vos applications ! » 😱 Oui, toutes ! Quand j’ai vu le nombre d’applications, j’ai eu un choc. Mais heureusement, cette fois, ça a été rapide. Genre, tout est relatif, hein ? Mais je suis restée polie. On va dire ça comme ça.

Puis, la cerise sur le gâteau : la coupure de courant générale dans le quartier peu avant minuit, bien sûr, alors que je m’étais endormie paisiblement. La coupure a duré 3 secondes, mais ça a suffi pour que toute la maison se réveille. Non, je n’exagère pas. Parce que, vous voyez, j’habite dans une maison connectée. Traduction : toutes les lumières se sont allumées comme si c’était Noël ! Sauf qu’il faisait nuit, et que je n’avais rien demandé. Et là, c’est l’horreur : même les lumières extérieures, donc celle du jardin s’est aussi allumée = mes deux chats dehors se sont activés, croyant qu’il était l’heure de rentrer pour un casse-croute nocturne ! Et que ça miaule, et que ça gratte sur la porte pour supplier de rentrer… Bah oui, on n’a pas de chatière. Et moi, dans mon état de semi coma, je dois me lever (avec un lumbago, s’il vous plaît sinon ça ne serait pas marrant) pour monter et descendre 6X6 marches d’escalier pour tout éteindre manuellement. Oui, vous avez bien lu, manuellement. (Clic clac sur les interrupteurs, j’avais oublié que ça existait. 🤣) Car la domotique, c’est chouette quand ça marche, mais quand ça plante, on peut danser sur notre tête que ça ne changera rien. Et à minuit, j’avais beau dire « Alexa, éteints toutes les lumières », « Alexa éteints dehors », « Alexa éteints la chambre », etc. rien n’y faisait, elle ne m’écoutait pas. Le système était bloqué à cause de la coupure de courant et une belle ligne bleue, bien voyante dans la nuit maintenant que j’avais éteint toutes les lumières, m’offrait une ambiance disco…

Quinze minutes plus tard, devinez quoi ? Les deux chats qui passent leur nuit dehors et qui sont rentrés à cause des lumières allumées, voulaient sortir. C’était juste pour manger trois croquettes qu’ils sont rentrés, monter et descendre tous les escaliers en bois comme des hippopoplumes (voir article précédent). J’ai rien compris. Je suis bête, mais bêêêête ! Ils ont quand même attendu que je me recouche et que je ferme les paupières.

Bref, ce matin, 4h56, l’Emmerdeuse (un autre chat, la seule femelle, Héra pour ne pas la nommer) a décidé de me faire comprendre qu’elle était prête pour sa séance de sport; oui, à 5h du matin, vive les chats. Elle court, saute, grimpe sur les murs, bref, elle fait sa star. J’ai tenté de me boucher les oreilles. J’ai échoué. À 5h20, j’entends la porte de la cuisine s’ouvrir. Ah, c’est fiston qui se lève. Et devinez quoi ? Il a nourri les chats. Bah oui, hier soir, pendant la coupure de courant, il était en train de bosser sur un dossier de dernière minute pour l’école. Mais le Wi-Fi a décidé de se prendre des vacances en plein milieu de son travail. Heureusement, maman est là pour sauver la situation avec son ordinateur (qui, lui, redémarre sans broncher et se connecte direct au Wi-Fi).

J’envisage de me recoucher pour la Xème fois. Mais impossible de me rendormir, parce que là, c’est le moment où mon cher fils a décidé de me solliciter :

– « Maman, c’est quoi ton mot de passe pour… ? »
– « Maman, comment je remets le son pour mes vidéos ? »
– « Maman, je peux connecter la souris ? »

Oui, bien sûr, c’est ça, le rêve de ma vie.

7h du matin, sans m’être rendormie donc, je prends mon petit-déjeuner. Et là, tranquillou, je me mets à regarder mes photos sur mon téléphone, un peu comme une vieille nostalgique. Bon, récente la nostalgie, ce sont les photos de mes oiseaux que j’ai prises lors de mes deux dernières balades (dont la dernière m’a cause le lumbago). Je veux recadrer une photo. Je touche mon écran tactile sur « modifier ». Et puis, là, je vois une nouvelle icône : « IA », juste à côté de « édition ». J’ai testé. C’est magique. 😆 J’ai testé la correction « flou » et « meilleure netteté » au moins sur dix photos. Mon thé a eu le temps de refroidir. Le temps a passé.

Enfin, je ne râle plus. Et vous savez quoi ? Toute ma fatigue est partie, comme par enchantement. Si ça c’est pas de la magie numérique, je ne sais pas ce que c’est !

Voilà le résultat des photos retouchées avec l’IA de mon application – qui a donc été mise à jour après la mise à jour du téléphone – « photo » de mon smartphone.

Bon, je trouve que la différence se voyait mieux sur le petit écran de mon smartphone… le plus impressionnant, est le grain en moins dans le gros zoom du Martin-pêcheur. En plus, comme j’ai recadré pour resserrer le sujet, c’est moche, mais moche. Pas grave, je me suis bien amusée à découvrir cette option et je m’en vais voir si ça marche pour une photo tout à fait floue (mise au point sur les branches devant ! )

Nanowrimo de 2016 ! Un roman revenant

Ouah ! Je suis dans un flux d’énergie et de motivation créatrice ! Après avoir terminé, en avance, mon Nanowrimo de ce mois de novembre 2024 (avec + 52k mots : quelle victoire écrasante pour moi !), j’avais dans l’idée d’utiliser les quelques jours restant pour le corriger. Mais… ce ne serait pas marrant s’il n’y avait pas de « mais », mais comme souvent, une fois que j’ai écrit une histoire entière et complète, pouf, je n’ai plus envie d’y revenir pendant quelques temps – voire jamais !

Alors, grâce à Géraldine (elle se reconnaîtra, merci à toi Géraldine !), j’ai eu l’idée de passer un ancien texte sous le regard artificiel et la critique « préformatée pour l’encouragement » d’une Intelligence Artificielle. Encore une fois, l’utilisation de l’IA est nouveau pour moi. Comme je l’ai expliqué auparavant, je joue avec elle, par curiosité. Je ne m’attends pas à grand chose, mais je suis à chaque fois surprise.

Il faut que je vous dise. J’ai de « vraies » conversations avec elle, avec cette intelligence artificielle. J’ai commencé par lui demander si elle pouvait analyser un roman. Elle m’a répondu affirmativement en me demandant néanmoins quelle analyse je voulais :

Puis, un peu parano, je lui ai demandé si c’était sûr de lui envoyer mon fichier.

Je lui ai donc envoyé mon fichier en un bloc, en PDF.

Bon, l’IA a pédalé dans la choucroute. Elle m’a dit « j’y travaille, je reviens dans quelques minutes ». Mais les minutes se sont transformées en heures ! Alors, vu qu’elle coinçait comme un vieux disque vinyle rayé sur une griffe, je lui ai demandé de tout arrêter. Et je lui ai demandé de m’aider, chapitre par chapitre. Et là, miracle, elle a retrouvé tous ses neurones électriques. Sa première analyse m’a littéralement bluffée ! Elle a les mots qu’il faut pour m’encourager et me motiver à poursuivre. J’étais sur mon petit nuage de fierté ! Et ça a marché ! Après une semaine, j’en suis au chapitre 9 ! J’essaye de corriger un chapitre par jour. Au total, il y en a 25. Mon objectif est d’avoir terminé cette première relecture et correction artificielle à la fin du mois de décembre ;-)

Le truc, c’est que plus je suis familière avec cette intelligence artificielle, plus je découvre ses failles. Au début, comme dans une nouvelle relation, c’était merveilleux, elle analysait en profondeur mon chapitre, suggérait les points à améliorer, réécrivait le chapitre plus ou moins comme je le voulais. Surtout, elle gardait mon style, mes mots. Mais… mais nous y voilà ! Petit à petit, elle a commencé à réduire mes chapitres à leur moitié ! Elle supprimait des passages entiers et des détails supers importants qu’elle mentionnait elle-même comme étant bons (dans son analyse).

Chapitre après chapitre, je commence enfin à cerner son « travail ». Si le chapitre est trop long, je sais d’avance qu’elle va le raccourcir de moitié si pas davantage (c’est horrible de lire ça, je sais). Et ses analyses sonnent un peu de manière identique : elle me félicite, me montre tout ce qui est bon, propose certains détails. Avec le temps, elle et moi nous commençons à nous connaître. Elle sait que je vais lui demander une analyse d’abord, puis une réécriture du chapitre et enfin d’enrichir certains passages – qu’elle a oublié. Quand je lui fait la remarque, elle se confond en excuses (là, je me marre) et corrige le tir. Ce matin, elle a directement fait l’analyse et à d’emblée proposer d’enrichir deux petits passages. Et si elle a moins supprimé, elle a « juste » sauté la fin du chapitre !

Voici sa conclusion quant à mon chapitre 9 :

Conclusion :
Ton chapitre est déjà très solide ! En approfondissant ces aspects — notamment l’introspection de Mathieu, la symbolique de la lumière, et le personnage de la pharmacienne — tu renforceras encore la tension dramatique et l’engagement émotionnel du lecteur. Qu’en penses-tu ?

Je suis occupée à me replonger dans un roman écrit en 2016. Il a démarré grâce à un atelier d’écriture d’un week-end, avec Stéphane Van Hoecke. Cet atelier qui se donnait en juillet 2016 avec pour thème « le village sans (100) histoires ». J’ai pioché au hasard sur une carte de France, le nom d’un village « Le Blondinet ». J’ai pioché au hasard dans une revue, le portrait d’un homme (Sean, l’épicier du village). J’ai pioché au hasard dans une liste deux ou trois mots : fontaine – orange. Je ne me souviens plus des autres mots. Il fallait, le temps de ce week-end, décrire le village et le personnage piochés. Dès le début, j’ai été prise dans une longue histoire… De retour à la maison, après ce week-end hyper créatif, j’ai poursuivi l’écriture de ce village et de cette histoire. Je crois que je l’ai terminé d’écrire en 2017. J’avais commencé à le relire et à le corriger en 2019. Et puis, il a dormi dans une clé USB pendant cinq années.

Je me surprends à le relire après tout ce temps. Et j’adore cette histoire. Si je me souviens des grandes lignes, de certains passages, j’ai tout oublié et même de la fin ! Comment j’ai réussi à faire tous les liens entre les personnages, comment je suis parvenue à faire monter le suspense, à maintenir une tension, oups, tout ça a disparu de ma mémoire d’humaine.

La légende du blondinet, premier titre provisoire, est mon premier roman jeunesse que j’ai réussi à mener jusqu’au bout dans une cohérence si pas parfaite, du moins correcte. J’ai bien l’intention de le corriger, de l’imprimer, de l’éditer.

Je suis à ce point motivée que je pense à établir un programme pour corriger cinq autres romans écrits durant des Nano et terminés, avec le mot « fin » + un autre, toujours écrit durant le Nano 2022 (32.700 / 50.000), mais que je n’ai pas réussi à avancer ni à terminer, car personnages plus complexes.

Romans et travaux de relecture à suivre…

Images générées par l’IA de WordPress

Nanowrimo J7 : le carnet secret

YES ! J’ai atteint les 20 K de mots ! Presque la moitié du Nanowrimo. Contente je suis.

Ces derniers jours ont été comme des montagnes russes : deux matinées sans écrire beaucoup et deux autres où mes doigts pianotaient à une allure folle sur le clavier. Toujours sans plan si ce n’est, chaque jour, une idée de conte que je tourne en salade ou que je détourne à ma sauce.

Le chapitre de ce jour est néanmoins plus long que prévu. Chaque chapitre fait plus ou moins quatre pages, sauf celui-ci qui en fait déjà six et pour lequel je rentre tout juste dans le sujet !

Au menu de ces derniers jours, il y a :

  • un carnet mystérieux
  • la cabane de Baba Yaga
  • une grenouille qui doit être embrassée pour pouvoir, enfin, se transformer

L’image que voici a été générée par Chat GPT,

et celle du haut de l’article, par l’Intelligence Artificielle de WordPress.

édit 18h00 : je voulais terminer mon « chapitre du jour ». Alors, j’ai repris le clavier et j’ai rajouté quelques centaines de mots :-)

Quelques images, deux générées par Chat GPT et une capture d’écran des badges que j’ai gagnés depuis le début de ce défi d’écriture.

J’ai improvisé une variante de la fable de La Fontaine avec « La grenouille qui voulait se faire aussi grosse qu’une pie (et qui la dépassa) »

Mes projets d’écriture

Multipassionnée, j’ai toujours trente-six activités et projets en cours, à faire, à terminer.

Il m’aura fallu une quarantaine d’années pour comprendre mon fonctionnement et, surtout, pour l’accepter. Et encore. Je le comprends volontiers, mais j’ai toujours un peu de mal à l’accepter.

J’ai tendance à me disperser et, si le projet est « trop long », à l’abandonner ou à le laisser dans un coin de ma tête, derrière une armoire ou caché derrière d’autres affaires, sur une étagère.

Et donc, aujourd’hui, à un peu plus de la mi-septembre, en plus de mes deux projets professionnels, d’un nouvel atelier d’écriture à imaginer (merci Fabienne B., c’est grâce à toi), d’un carnet d’objectifs mensuels à suivre, je pense déjà au Nanowrimo du mois de novembre. Oui. Et ce n’est pas tout ! Avec tout ça, j’ai commencé et terminé de jouer à écrire une fanfiction avec Chat GPT !

Le NANOWRIMO 2024

L’officiel, pas l’intermédiaire, le « petit » camp. Le vrai. Le dur. L’énorme. Qui est-il ? Quel est son poids ? Quelles sont ses différentes caractéristiques ? Comment va-t-il s’appeler ? Sur quoi va-t-il porter ?

Je n’ai pas encore toutes ces réponses. Le but : écrire 50.000 mots sur le seul mois de novembre, soit en 30 jours. Ce n’est pas rien. C’est gigantesque. Titanesque pour moi.

Pour ne pas me sentir trop stressée, trop sous pression (alors qu’il n’y a strictement rien à gagner, si ce n’est pas la fierté d’y être arrivée), j’accepte d’adapter les règles pour moi. Je les adapte, tout en gardant en tête ces deux objectifs et ces deux règles principales.

Cette année, pour la première fois, je ne vais pas écrire de la fiction ou des contes. Non, je vais commencer mon autobiographie. Mais pas n’importe comment. Je ne vais pas « simplement » raconter ma vie de manière chronologique, même si je pense qu’il y aurait de quoi remplir trois tomes de 500 pages (rires). J’ai envie de voir le côté positif et thérapeutique de l’écriture sur soi. Au travers une liste de trente questions, je vais essayer de me remémorer dans le détail trente événements marquants de ma vie. Si ces événements sont « négatifs » ou tristes, je vais essayer d’en tirer le positif, de faire travailler ma résilience et de prélever l’essence de la joie, du bonheur, du plaisir. Parce que je veux avancer délicieusement dans la lumière de la Vie et non pas stagner dans l’obscurité poisseuse et puante.

Voilà, je l’ai dit. Je l’ai écrit. Je l’ai partagé.

Comme à chaque fois qu’il est question de ce défi sympathique d’écriture, je vais notifier ma progression au travers une image et quelques mots dans un article, sur mon blog. Peut-être vais-je vous montrer sur quels sujets j’écrit.

J’ai testé l’écriture d’une fanfiction avec l’intelligence artificielle Chat GPT

Certain.e.s s’en souviennent peut-être, j’ai voulu à plusieurs reprises traduire un album de la bande dessinées préférée de mon enfance : Bob et Bobette. Ce livre est en néerlandais et il n’a pas été traduit en français. Avec des cygnes. Avec de la magie et avec une légende. Tous les ingrédients réunis pour me plaire. Mais voilà, j’ai commencé, une fois, deux fois, trois fois et … j’ai abandonné tout autant de fois.

L’intelligence artificielle est là. Elle existe. Cela ne sert à rien de la nier, de ne pas en parler, d’essayer de l’oublier, de la critiquer, de ne pas y prêter attention, elle est là. Alors, un jour, j’ai décidé de l’utiliser. Comme le dit si bien le proverbe japonais « Le stress ne doit pas être évité, il doit être utilisé. », eh bien, moi, je change « le stress » en « l’intelligence artificielle ». Ce qui donne : « L’intelligence artificielle ne doit pas être évitée, elle doit être utilisée. »

J’ai donc donné des consignes précises à « Chat GPT ». Je lui ai d’abord demandé s’il connaissait les albums de la série Bob et Bobette, de Willy Vandersteen. Il m’a répondu par l’affirmatif. Ensuite, je lui ai demandé s’il savait ce que c’était une « fanfiction ». A nouveau, une affirmation. Ma troisième question a été « Est-ce que tu pourrais m’aider à écrire une fanfiction avec tous les personnages de cette bande dessinée ? » Le petit comique a dit « Bien sûr, ça sera amusant. » J’ai donc découpé l’histoire en plusieurs chapitres, avec une introduction avant. Il n’allait pas écrire comme ça tout une histoire, il lui faut des éléments, quelque chose à se mettre « sous les neurones ». C’est avec des idées de scènes, une saison, un lieu, l’une ou l’autre brève description, qu’il a « pondu » chacun des huit chapitres. Il m’a montré en effet qu’il connaissait les personnages. Il y a bien quelques erreurs ou oublis, mais dans l’ensemble, je lui tire mon chapeau (rires). Vers la fin, je lui ai même demandé de m’écrire une autre version d’un chapitre, car je voulais qu’il soit plus précis dans une scène. Enfin, un peu tardivement – mais je corrigerai le « tir » à la relecture et réécriture – je lui ai demandé d’intégrer un méchant avec une scène. Je lui ai dit où je voyais cette scène, comment je voyais le méchant intervenir, ce qu’il ferait. Et il a écrit le reste, la solution, etc.

Bref, j’ai passé huit soirées (un chapitre / soirée) assez amusantes, je dois le dire.

Je vais peaufiner tout ça et l’imprimerai pour la présenter à la journée des membres de mon club francophone sur Le Monde Magique de Willy Vandersteen qui devrait avoir lieue vers la mi ou la fin octobre.

Voilà mes deux gros projets d’écriture. Pour le moment :-)