Défi d’écriture avec le camp NaNoWriMo d’avril

Mon Camp NaNoWriMo d’avril : entre excitation et incertitudes

  • Thème choisi : OK (mais une autre idée commence déjà à me trotter en tête, oups !)
  • Plan d’écriture : OK
  • Inscription sur le site NaNoWriMo : OK
  • Objectif de mots : 35.000
  • Réserve de thé : OK
  • Réserve de sommeil : NOK
  • Motivation : 1/2 OK

J-1. Le Camp NaNoWriMo va bientôt commencer…

Le Camp NaNo, c’est quoi ? Un défi d’écriture similaire au NaNoWriMo de novembre, mais avec plus de liberté. Ici, on choisit nous-mêmes notre objectif de mots et notre projet, idéal pour ceux et celles qui, comme moi, écrivent des histoires plus courtes que les 50.000 mots du NaNo classique.

Pourquoi ce challenge ?

En novembre dernier, j’ai suivi mon premier programme d’écriture. C’était la première fois que je faisais un tel plan. Avec toutes ces informations mêlant idées de progression, contes détournés et personnages, j’ai atteint 52.309 mots. Une belle victoire !

Forte de cette expérience, j’ai décidé de reproduire la méthode pour ce Camp d’avril avec un objectif de 35.000 mots.

Mon idée de départ… qui évolue

Initialement, je voulais retravailler un texte écrit en avril 2022, lors d’un précédent Camp (même si je ne m’étais pas inscrite officiellement à l’époque). J’avais partagé ma progression sur mon blog en m’imposant une contrainte originale : intégrer une trentaine de titres de livres dans mon récit. À J28, j’en avais inclus 25 et bouclé l’histoire avec 34.815 mots.

En février, l’envie de reprendre ce texte me revient. Je le relis… mais quelque chose cloche. Il manque de solidité, il ne me semble pas assez captivant pour un lecteur extérieur. C’est là que germe l’idée du Camp : enrichir cette histoire et l’amener à 35.000 mots.

Mais plus le temps passe, plus mon projet initial se transforme. En mars, en établissant mon programme, je réalise que l’histoire n’a presque plus rien à voir avec celle de 2022. Alors, que faire ?

À J-1, le dilemme reste entier : dois-je peaufiner l’ancien texte ou tout recommencer à zéro ?

Une approche différente cette fois-ci

Contrairement à novembre, où j’avais affiché mes 30 fiches sur le mur de mon bureau (qui est un coin du salon), cette fois, elles resteront en vrac. Je les barrerai au fil de ma progression.

Mes inquiétudes

J’ai énormément de notes : détails des personnages, liens entre eux, descriptions de scènes, rebondissements… Trop, peut-être ! En voulant approfondir l’univers et les personnages, ai-je créé une histoire trop dense ?

Je n’ai jamais écrit un roman avec un plan structuré. Je suis habituée aux contes et nouvelles, courts et percutants. Pour mon premier roman jeunesse, Faire pousser des oiseaux, j’avais été accompagnée par l’autrice Evelyne Wilwerth à travers des ateliers d’écriture. L’histoire s’était construite petit à petit, enrichie par nos échanges.

La petite fille du Togo, mon deuxième roman jeunesse, a suivi une autre logique : une trame en tête, un long conte ponctué d’histoires d’animaux. Et puis, la réalité s’est invitée : au moment où j’écrivais, une amie me parle d’enfants en détresse en Afrique de l’Ouest. Je découvre leur quotidien, je parraine un petit garçon, et son histoire m’inspire. En moins d’une semaine, le livre est écrit.

Le puits aux secrets, lui, a encore suivi un chemin différent. Né lors d’un week-end d’écriture en avril 2016 (avril, toujours avril ! Un signe ?), il s’est développé sans plan précis. Les scènes s’imposaient d’elles-mêmes, comme un film déroulé dans mon esprit.

Et maintenant ?

Ce quatrième roman naîtra donc d’un tout autre processus ! J’ai l’intuition que l’histoire évoluera au fil de l’écriture, loin de mon plan initial. À J-1, je n’ai encore rien écrit, attendant le 1er avril pour me lancer.

Bonne nouvelle : ce jour-là, je ne travaille pas. J’aurai toute la matinée (et sans doute une partie de la nuit, merci le passage à l’heure d’été…) pour me plonger dans l’écriture. Si l’inspiration est au rendez-vous, je pourrai prendre une belle avance sur mon objectif quotidien de 1.200 mots.

À suivre…

Ce mois s’annonce intense, parfois frustrant, mais surtout passionnant ! J’ai hâte de voir où mes personnages vont m’emmener et comment l’histoire va évoluer.

Je partagerai sûrement quelques nouvelles ici, probablement de manière hebdomadaire.

Rendez-vous très bientôt pour la suite de l’aventure !

Nanowrimo J5 : je pleure

On est hypersensible ou on ne l’est pas. J’en suis une. Une véritable madeleine. Non, ce ne sont pas des larmes de crocodile, ce sont de vraies émotions, de vraies larmes qui gouttent le sel, qui étreignent la gorge, qui font couler mon nez !

Cinquième jour Nano, bientôt 10.000 mots et … je pleure. Oui, je pleure car une personne de la famille proche de mon personnage principal est mort. Je l’ai fait mourir. Oui, c’est comme ça. Elle a à peine eu le temps d’exister, que déjà je l’enterre. Mais je vais la faire revivre au travers des souvenirs, au travers la découverte de secrets révélés. Elle ne sera pas morte en vain ! Elle va avoir une place très importante dans le livre. Elle va ressusciter, reprendre goût à la vie et laisser éclater sa joie le temps d’un chapitre ou de deux. Ou de trois peut-être ;-)

Je n’ai pas réussi à intégrer les trois jeux d’écriture auxquels j’avais pensé. Seulement deux et très brièvement. Ils n’ont fait que passer. Mais ce n’est pas grave. J’ai écrit 1684 mots aujourd’hui. Un peu plus, mais j’en ai supprimé aussi. Je n’ai compté que ceux que j’ai gardés. Et comme hier, j’ai eu du mal à atteindre la ligne d’arrivée du jour… Comme hier, je suis retournée en arrière, j’ai relu ce que j’avais écris ce matin, j’ai complété, j’ai changé, j’ai corrigé, j’ai prolongé des passages.

Aujourd’hui, j’ai tourné le dos à ma contrainte, à mes jeux d’écriture. Je dois avouer que le deuxième jeu d’écriture, l’assonance, s’est installé tout seul. Il a changé de voyelle (répété la lettre « i » et non la « e »), il s’est imposé, mais tout naturellement, sans aucun forcing. Et même si j’aurais aimé intégrer le troisième jeu avec la répétition du son « au » ou « eau », je n’ai pas voulu m’imposer cette difficulté non obligatoire.

Nous ne sommes qu’au 5e jour du Nano et déjà, j’éprouve des difficultés à progresser à un rythme constant. C’est-à-dire que le personnage principal prend plus de consistance, son caractère s’affirme, sa vie s’anime (rires). Et j’ai beau respecter mon plan, mon programme, avec les jeux d’écriture, comme je n’avais pas en tête une longue histoire, c’est un peu difficile de tout assembler, rassembler, faire tenir ensemble, que l’histoire tienne la route et ne soit pas (trop) tirée par les cheveux.

Allez, encore une petite photo d’un oiseau de la mer du Nord pour partager ma progression.

Quant au jeu de demain, j’avais prévu un cadavre exquis avec des mots piochés dans mon livre que je lisais : Cachemire rouge, de Christiana Moreau. Mais j’ai terminé ce livre extraordinaire le soir de mon J3 Nano… Je vais donc piocher des mots dans mon nouveau livre en cours de lecture.

Si vous aimez les Histoires de Femmes, de l’évolution d’un métier, de la mode, de la fabrication d’un vêtement, d’un voyage humain, si la question de l’immigration, de la clandestinité vous touche, si vous appréciez les histoires bien écrites, sous forme d’un conte oui, je le prends comme tel, alors, n’hésitez plus, lisez le Cachemire rouge de Christiana Moreau ! Je vous le recommande, un véritable coup de cœur, comme j’en ai beaucoup pour le moment, mais je vous parle brièvement de ce livre, car je l’ai commencé la veille du Nano et je l’ai terminé au tout début de ce défi d’écriture. Il m’a soutenue, m’a portée, m’a fait voyager dans un autre monde… J’en ai été bouleversée, mais admirative aussi.

Nanowrimo J3

Je reste sur ma lancée. Je progresse bien. J’avance à pattes d’Huitrier-pie :-) (c’est le nom du chti oiseau qui est sur la photo)

Je ne sais jamais ce que je vais écrire le matin. Je prends mon plan avec mon jeu d’écriture du jour J. Le jeu, la contrainte est là pour me donner l’impulsion, la pulsion nécessaire aux images qui vont se succéder dans ma tête afin que mes doigts pianotent tout ça et transforment ces images imaginaires en mots, puis en phrases pour former un bout d’histoire.

Mon jeu d’écriture du matin était « décrire la vie et la mort de légumes ou d’un plat dans mon assiette ». Je n’ai pas écrit la vie et la mort de légumes, mais j’ai décrit un plat, en utilisant quelques sens tels le goût, l’odorat, la vue. Je vais pouvoir rajouter des détails, être plus précise. Mais sur le moment-même, avec la suite de l’histoire et la description – succin – du plat, je suis déjà arrivée à mon petit millier de mots quotidien. Je ne veux rien forcer pour coller à la contrainte. Le but, c’est d’écrire. Si je dévie, si je ne respecte pas à 100 % ce que je me suis « imposée », ce n’est pas grave. Ces jeux ne sont que des guides, des amis. Ils me suivent où que j’aille.

Demain, j’ai choisi d’écrire sur ou partir d’une comparaison et d’une métaphore. Dans le livre que j’ai utilisé pour choisir une dizaine de jeux d’écriture : « Écrire, un plaisir à la portée de tous, 350 techniques d’écriture créative », de Faly Stachak, à la page 92, il est fait référence à une phrase de Le Clézio.

L’écriture, c’est comme un vol d’oiseau au-dessus de la mer »

Je l’ai gardée telle qu’elle, car je reviens justement d’un petit séjour à la mer avec mon amoureux et … j’adore les oiseaux. Voyez les photos que j’utilise pour partager mon avancée dans ce défi… des photos du jour, à la mer du Nord ;-)

Quant à la métaphore, j’ai choisi de partir également d’après un exemple du livre à partir du début de phrase : L’imagination, c’est…

Je vous dis « à demain » !

Les petits badges que je reçois quand j’introduis ma progression sur le site officiel du Nano ! Prochain badge a gagner : la barre des 10.000 mots, écrire pendant 7 jours… à suivre

Préparation au NaNoWriMo 2022

Souvenez-vous, le 17 octobre, j’avais publié (programmé) un article sur le Nano de novembre 2022. Le lendemain, je perdais ma voix, le surlendemain, j’apprenais que je faisais le Covid ! Nous voici aujourd’hui le 29 octobre et je suis toujours aphone !

Durant les quelques jours de quarantaine, j’ai eu le temps de délirer, de réfléchir, de dormir, de lire, de délirer encore, de réfléchir toujours, de dormir encore davantage, de lire toujours plus ! Et donc à J-3 du début de ce challenge, je suis bien motivée pour écrire. Je n’ai pas eu assez d’énergie pour traduire le Bob et Bobette ou même d’avoir eu l’envie de le faire. Par contre, il me tarde de jouer à des jeux d’écriture.

En avril 2022, c’était aussi quelques jours avant le début du « Nano d’avril » que j’avais décidé de participer. Et quand j’avais commencé le Nano, j’étais aussi aphone, dû à ma deuxième infection Covid ! Cette extinction de voix a été la première qui a duré plus les trois-quatre jours classique quand je fais une laryngite (15j en tout !). En juin-juillet, troisième infection Covid et aphonie d’un mois !! J’avoue redouter cette 4e infection, que mon problème de voix dure encore plus longtemps que précédemment :-(

Bref, pour me « venger » de ne plus savoir parler, il me démange d’écrire, d’écrire, d’écrire. Ce matin, j’ai mis près de deux heures à faire mon programme. Comme pour le Nano de novembre 2019, je me suis fixé des objectifs quotidien. Comme je suis à l’aise dans les textes courts (nouvelles et contes), tous les jours, je vais écrire à partir d’un défi d’écriture. Je vais essayer de faire tenir le tout ensemble, pour que ça ressemble à un roman. En novembre 2020, j’avais écrit 30 contes que j’avais détournés. J’en ai sélectionné une quinzaine pour mon recueil autopublié « Raconter des salades… de contes ».

Cette année, le livre qui va m’accompagner, m’aider à écrire quotidiennement, est « Écrire, un plaisir à la portée de tous. 350 techniques d’écriture créative« , par Faly Stachak, publié aux éditions Eyrolles, en 2004.

Là, je vais mettre de l’ordre dans les 30 propositions que j’ai choisies. En réalité, l’idée de faire un tome2 du recueil de contes me trottait déjà dans la tête depuis quelques semaines. Et j’avais enregistré dans mon bloc-notes de smartphone douze idées pour détourner des contes. Il me reste peu de temps avant de mettre de l’ordre dans toutes ces idées pour avoir une ligne de conduite claire et un thème commun pour que ça rentre dans un recueil de contes ou un roman d’un genre un peu particulier :-)

En fonction de mes progressions, je partagerai mes joies et mes peines avec vous.

Un dernier mot avant de clôturer cet article. Pour moi, ce défi d’écriture est un challenge personnel. Depuis que j’ai fait sa connaissance (2012 – 10 ans déjà !), je n’ai été dans le groupe officiel des Nanoteurs que deux fois je pense, au tout début. Rejoindre des groupes, qu’ils soient en présentiels ou virtuels, est toujours difficile. Surtout que le site officiel est en anglais et que je suis une parfaite unilingue qui tâtonne en anglais, néerlandais et japonais.

Et l’âge avançant, ça ne va pas s’arranger (rires).

Mais pour le coup, je m’y suis remise et voici le titre provisoire que j’ai trouvé et l’image qui va me suivre durant tout ce mois de novembre.

Nanowrimo J21 : un objectif bientôt atteint

Je suis à deux mots de la victoire pour « mon » Nano : l’un de mes objectifs est d’atteindre 25.000 mots le 30 avril.

A neuf jours de la fin, j’en suis déjà à 24.600 !

Quelques doutes, un rythme d’écriture et de créativité plus lents, car j’hésite à décrire trop de choses. Si j’ai bien une idée globale pour la fin de mon histoire, je n’ai pas encore tous les détails.

Mon méchant n’est pas vraiment si méchant que ça. Mon héroïne se fait voler le succès de la réussite de certaines quête par un personnage de second plan (son frère !). Va falloir que je remédie à cette affaire !

Bref, l’histoire suit son petit bonhomme de chemin et arrive tout doucement vers une fin heureuse. Car oui, je n’aime que les histoires qui se finissent bien :-)

Nanowrimo J19, petit à petit…

Une photo et la barre des 23.000 mots est passée !

Oui, je viens d’annoncer à ma famille que je deviens folle, j’écris de ces trucs de ouf ! J’aime ça, ça me plait, ça me fait sourire, parfois rire. Un gentil petit délire passager :-)

Dans mon histoire un peu bizarre, il y a plein d’animaux étranges : des Mésanges cendrée, des Loups rouges, des Grues tisseuses, des Ours bouclés… alors saurez-vous trouver leurs origines ? Où est-ce que j’ai pu aller les chercher ?

Ma lecture du moment m’aide énormément dans ma folie passagère. Il n’y a pas à dire, mes sources d’inspiration pour écrire ce Nano sont limpides comme de l’eau. « La maison aux mille détours », de Diana Wynne Jones, me chuchote ces grains de loufoquerie qui se glissent spontanement dans mon texte.

Quand je suis au repos, je ne pense pas trop au Nano, mais je me demande quand même si je suis capable d’écrire autre chose que ce genre d’histoire « mignonne mais sans grand intérêt ». Peut-être que pour le vrai Nano de novembre, vais-je me fixer un autre objectif sur le style de l’histoire à écrire : policier, thriller, enquête ? Mon camp Nano d’avril n’est pas encore terminé, mais dans ma tête, c’est tout comme, que je pense déjà au challenge de novembre 🤪 Et je crois que je vais lire « Qui a tué Glenn », de Leonie Swann, pour m’inspirer 😇 Si j’arrive à ne pas lire ce livre d’ici octobre ! Bien que je pense que cela sera facile vu le nombre de livres qu’il me reste encore à lire, j’imagine aussi qu’il doit exister d’autres histoires similaires à « Glenn », non ?

Je vous présente notre « bébé Minos », un beau chat de 3 ans et de presque 6 kg. Il croque la vie à pleines dents, rapporte des bâtons comme un petit chien, s’enfuit au moindre bruit, lèche le coude de notre fille dès qu’il est dans ses bras, miaule et parle comme si on le comprenait (bien sûr, on le comprend !) et rentre dans une caisse si petite qu’on le soupçonne d’être magicien.

NaNo J3 : suivre un plan ou pas ?

On est dimanche. Je n’ai pas pu écrire très tôt le matin, en cause une crise de VPPB (Vertige Positionnel Paroxystique Bénin) qui m’a bousillée la fin de ma nuit et qui a duré 4 heures d’horreur.

C’est donc fin de matinée et surtout dans l’après-midi, quand je retrouvais enfin toute ma stabilité, tout mon équilibre, que je me suis mise au clavier. Je n’ai pas regardé l’heure.

Encore une fois, j’ai été là où je ne m’y attendais pas. La seule piste que je suis, ce sont la quinzaine de titres de livres que j’ai noté et que j’aimerais intégrer dans mon histoire. Mon personnage, une petite fille de 8 ans, commence à se dessiner plus précisément dans ma tête. Un grand frère de 20 ans est arrivé. Mon héroïne principale est orpheline de père. Un ami du héros, un ami de ma petite fille est né sous les traits d’un personnage particulier : Le Maître des Livres.

Je ne vous en dirai pas plus, si ce n’est que dans cette histoire, il y a des animaux (comme d’habitude), une quête, de la magie et des livres. Je ne suis pas encore arrivée à l’ennemi, mais j’en ai déjà parlé, il est déjà présenté brièvement.

Vous avez deviné, ça ressemblera encore une fois à un conte.

Mais ça part dans tellement de directions auxquelles je ne pense pas quand j’écris, que j’ai débuté un cahier où je prends des notes pour ne pas m’y perdre (rires). Je ne suis pas de plan précis, je n’ai jamais réussi à faire ça, mais ce qu’il y a de différents dans ce Nano, c’est que quand j’ouvre l’écran de mon ordinateur, je ne sais JAMAIS ce que je vais écrire. Je relis les dernières phrases, les images s’animent, et le feuilleton démarre et se poursuit au fur et à mesure que j’écris. C’est génial je trouve !

Ce qui est assez surprenant, vraiment, pour moi, c’est que je ne m’arrête pas après x heures ou après avoir écrit x mots. Non. Je « sens » quand c’est le bon moment pour arrêter. La dernière phrase est assez ouverte pour me permettre, demain, d’imaginer la suite. Je n’ai pas encore eu besoin d’image ou de phrases piochées un peu au hasard dans des revues que j’ai chez moi. Ces démarreurs ne me sont pas encore nécessaires. Peut-être un peu plus tard ? Qui sait ?

J’en suis à 11 titres de livres déjà intégrés ! Deux sont venus presque naturellement, sans y penser vraiment.

J’avance un peu plus que nécessaire, sait-on jamais qu’il y ai des jours où Miss Inspiration me fait faux bond ou que je sois tellement malade pour être incapable d’ouvrir mon ordinateur :-(

Une petite photo pour illustrer ma progression, mon avancée…

Je vous présente Sethi, le premier caprin que ma fille a commencé à parrainer au refuge Animal sans toi…t. Il a été adopté rapidement et aujourd’hui, son nouveau « neveu » s’appelle Gordon.