Camp Nano avril 2024 : J3

L’imagination est là, au rendez-vous. Elle est tellement présente et insistante que je suis un peu frustrée de devoir éteindre mon ordinateur le matin. Bah oui, il faut travailler. Parfois. L’argent ne tombe pas du ciel, comme par enchantement.

Durée de sommeil de 7h34. La durée parfaite pour moi. Sans réveil. Le bonheur au petit matin. Le clavier qui m’appelle. Mon personnage principal qui rouspète parce que je pense d’abord à mes chats qu’il faut nourrir avant de le nourrir lui de plein de mots.

En ce troisième jour, j’ai atteint le palier des 5.000 mots ! Si je ne suis pas trop fatiguée, j’écrirai encore un peu ce soir. Juste pour pouvoir, demain matin, ouvrir mon fichier sur un nouveau chapitre.

Plus j’écris, mieux je me sens à l’aise avec cet univers, ce monde imaginaire. Tout vient naturellement, presque comme si j’assistais en direct à une scène. Je cherche parfois le bon mot, pour ne pas mettre des répétitions inutiles, pour ne pas que les phrases soient trop lourdes.

Je crois que j’ai un rythme d’un millier de mots en une heure d’écriture, sur ordinateur.

Les applications pour m’aider à me concentrer n’ont pas encore été ouvertes. Ni l’une, ni l’autre ! Peut-être ce soir, mais pour le moment, tant que les mots coulent à flot, je ne pense même pas à me distraire et à aller voir ailleurs, sur la Toile, sur FB ou autre.

Par contre, je n’ai pas encore fait mes fiches personnages et là, je commence à en ressentir la nécessité. Pour ne pas écrire des bêtises, des éléments contradictoires.

Camp Nano avril 2024 : J2

Il est toujours bon d’avoir un peu d’avance, car tu ne sais jamais comment sera ta nuit.

Je me couche relativement tôt, car je suis une lève très tôt ! 21h30 au lit, avec un peu de lecture, le meilleur remède pour s’endormir rapidement. Bardaf ! Le printemps est là et mes voisins d’en face laissent à nouveau leur grand chien (style chien de garde) dans le jardin. Toutes les trente minutes environ, il aboie !!

23h30, je n’en peux plus d’être réveillée, je descends mes affaires et m’en vais dormir au salon.

Miracle, je me rendors assez rapidement. Ma montre connectée me dit que j’ai dormi de 23h41 à 4h56.

Le temps de donner à manger aux fauves (4 chats), je marche comme un canard (j’ai mal au dos et ma sciatique me fait un mal de dinosaure) jusqu’à ma table de travail où m’attend mon ordinateur.

De 5h06 à 5h45, j’écris 973 mots. Je quitte à regrets mon histoire, mon monde imaginaire. Il est temps de prendre ma douche, de mettre la table pour le petit déjeuner, puis de conduire les enfants à l’école, enfin de me rendre à mon travail.

Il est 15h30 quand je pense au NaNoWriMo, à l’article que j’aimerais écrire sur mon blog et à la photo que je vais choisir pour partager mon avancée.

Ce soir, je reprendrai mon clavier. J’ai envie de poursuivre mon histoire, car le chapitre prévu n’est pas terminé. Je n’irai pas marcher étant donné mon mal de dos. Quelle bonne excuse ! Mais il me faut marcher. Pour m’aérer. En plus, il pleut. Non, vraiment, tant pis, je n’arriverai pas à dépasser 2000 pas aujourd’hui. Alors, pour me consoler, je vais écrire 2000 mots. 2000 ou davantage si mon personnage prend le dessus :-)

édit : + environ 930 mots le soir ! Nouvelle image avec le compteur de mots mis à jour.

Camp d’avril, faut pas que j’me défile

Bonjour matinal,

Y a-t-il dans la place des fous de camp ? Avril approche à petits bonds de 🐸 ça tombe bien, il pleut, il fait 7 degrés minimum le soir, leur migration a commencé (levez le pied en 🚗 pour ne pas les écraser)… Et moi, je suis prête à me lancer en mots et en idées pour une histoire imaginée 😄

Il paraît que les camps Nanowrimo, c’est encore plus gai que ze défi, car on choisit ce qu’on veut, tant qu’on écrit : 15.000, 20.000, 30.000 ou 100.000 mots, c’est vous qui choisissez … Ou pas 😅
Perso, j’ai choisi d’écrire un peu tous les jours, sans limite, mais tous les jours obligatoirement. ET mon défi ultime : terminer l’histoire, boucler la boucle, mettre un point final. Le tout, sans râler, sans me plaindre, sans pleurer, sans crier. Surtout, surtout, sans abandonner !

J’me prépare tout doucement, et j »entasse mots d’encouragement et citations positives en tous genres.

J’avais des idées plein la tête depuis décembre. Janvier a tout balayé. Février a tout ressassé. Et en mars, ça repart.

Je ne sais pas où je vais, mais j’y vais. Cela dit, il reste plus de quinze jours, alors d’ici le départ, il peut en arriver, des choses, des idées et des désirs épuisés, essoufflés… 🫣

Cherche, trouve et compte les crapauds