La force d’une image exprimée par des mots

Extrait de « Une collection très particulière », de Bernard Quiriny. Extrait de la nouvelle intitulée « Oromée, en Bolivie ».

« Mon visage sera impassible, et même un peu souriant : je ferai comme si tout était normal, en tâchant d’atteindre à l’indifférence des gens du coin. (…)  , comme un infirmier dévoué aide à mourir en secret son patient épuisé, en lisant des remerciements dans ses yeux mouillés »

 

 

J’ai changé d’avis…

Mon petit week-end d’écriture était tout simplement : EXTRA ! En dernière minute, juste avant de partir le samedi matin (après avoir programmé l’article sur mon blog pour vous parler de l’extrait que j’avais choisi initialement), j’ai changé d’avis… car je ne voulais pas rentrer directement dans le thème de cet atelier qui était « Un village sans (100) histoires ». J’avais envie de proposer tout à fait autre chose, pour ne pas me focaliser sur le conte de Tomek et Hannah et leur rivière à l’envers.

J’ai donc choisi un passage d’une nouvelle d’un auteur belge : Bernard Quiriny, dans son recueil de nouvelles intitulé « Contes carnivores ».

wp-1460990262131.jpgJe vous en parlerai prochainement… des histoires décalées, hors de la réalité, un autre monde que j’adore et que je vais redévorer à nouveau dans une prochaine relecture :-)

Pour vous mettre en appétit, voici ce qu’en dit la 4ème de couverture :

« Un botaniste amoureux de sa plante carnivore. Un curé qui se dédouble dans différents corps. Une femme-orange qui se laisse boire par ses amants. Une société d’esthètes fascinés par les marées noires. Des Indiens d’Amazonie qu’aucun linguiste ne comprend... »