Un animal de compagnie, que du positif !

Proposition quotidienne de rédaction
Quels sont les côtés positifs de posséder un animal de compagnie ?
  • apaisement, calme, zen
  • ronronthérapie
  • me console quand je suis triste
  • me supporte quand je suis malade
  • fait baisser la tension artérielle
  • diminue le rythme cardiaque
  • câlins et attention
  • bouillotte la nuit
  • réveil-matin écologique
  • coach sportif, entretien ma forme physique
  • aide-mémoire
  • tient compagnie

Mon temps préféré, ma saison préférée

Proposition quotidienne de rédaction
Quel est votre type de temps préféré ?

Sans hésitation, c’est le printemps. Mais le printemps lumineux, doux, ni trop chaud ni trop humide. Ensoleillé. Avec les fleurs qui poussent et qui s’ouvrent à l’astre diurne, avec les oiseaux qui chantent dès potron-minet, avec les insectes qui arrivent et visitent notre jardin ou notre maison… mais surtout avec les matinées et les soirées claires.

Au revoir à un ancien moi

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Décrivez une étape de votre vie à laquelle il a été difficile de dire au revoir.

Sans hésitation, cette étape est celle qui m’a fait devenir maman. En 2005, je suis devenue maman. En 2007, je le suis devenue une deuxième fois, pour renforcer le terme, pour être sûre que j’étais « maman ». Le choix d’une reine : une fille et un garçon.

Je suis toujours maman, heureusement pour moi, heureusement pour eux. Mais ils sont grands à présent. Sans être indépendants, ils n’ont plus besoin de moi, ou si peu, comme taxi la plupart du temps.

Quand ils étaient petits, je me suis découverte une fibre maternelle doublée de celle de conteuse et d’écrivaine. J’ai pris un grand plaisir à écrire des histoires pour eux, pour leurs classes. Plus grands, j’ai aimé commencé à animer des ateliers d’écriture avec eux et quelques autres enfants, pour qu’ils écrivent leur propre histoire fantastique.

Aujourd’hui, je suis toujours maman. Heureusement pour moi, heureusement pour eux. Mais ils sont grands. Ils ont moins besoin de moi à présent. Ce lien qui était fort est devenu plus faible, ténu, presqu’invisible. Les bisous et les câlins, c’est fini, sauf pour consoler d’un gros chagrin. Les lectures à voix haute, terminées. Les balades, main dans la main, oubliées.

J’ai dû accepter de les voir grandir. De les voir murir. De les voir devenir autonome. Le cordon ombilical est coupé depuis quelques années et pourtant, ce sont toujours mes « petits ». Mes petits qui me dépassent en taille. Mes petits sont devenus bien grands, bien intelligents, bien dans leurs baskets.

Mon rôle de maman est terminé. Il n’en reste plus que le nom. Je le savais, depuis le début que ça allait se terminer ainsi. Mais comme pour les naissances, on découvre, on se découvre parent en grandissant avec eux. On avance, on change, avec eux, d’abord en temps plein, puis petit à petit, l’horaire de « maman » se réduit. Elle se réduit à une peau de chagrin.

C’est à cette étape-là de ma vie que j’ai du mal à dire « au revoir »

Je suis toujours maman dans les faits, mais en réalité, je ne suis plus qu’une colocataire qui se cherche. Qui cherche sa place. Sa nouvelle place. De maman dépendante, je deviens une maman indépendante. Et dans 20, 30 ou 40 ans, j’écrirai à nouveau le nom de mes enfants sur des papiers officiels. Ce sera alors à mon tour de dépendre d’eux dans mon autonomie, dans mes déplacements, dans mes espoirs. Les rôles seront alors inversés et il me faudra alors à nouveau composer avec ce nouveau rôle à l’envers.

Ma boisson préférée est …

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Quelle est votre boisson préférée ?

Le thé ! Le noir, le vert, le blanc, par ordre de préférence. En vrac ou déjà en sachet de certaines marques bien connues. Il existe également le thé jaune, mais je ne pense pas déjà avoir pu le goûter. Chaque thé est réputé pour des bénéfices. On y croit ou pas. Toujours est-il que je déteste le café, mais que j’adore les thés – chauds ou froids, mais chauds de préférence.

  • Un thé avec plein de goûts pour bien démarrer la journée sur des chapeaux de roues,
  • Un thé réconfortant avec du miel ou du citron pour adoucir ma gorge et apaiser l’irritation de mes cordes vocales,
  • Un thé ou une tisane vers 10h, selon mon humeur du moment,
  • Une tisane de préférence l’après-midi; avec le goûter, il me faut quelque chose de sucré (finit le sucre blanc, je l’ai remplacé par du sirop d’agave – j’aimerais bien arrêter de sucrer mes thés, mais chaque chose en son temps)
  • Une tisane apaisante le soir, pour bien digérer ou pour se préparer à une bonne nuit de sommeil. Pour ne pas mettre du sucre ou l’équivalent le soir, j’aime réchauffer du lait – sans lactose – et faire infuser ma tisane dans le lait chaud, sans sucre.

J’ai une planche de toute une armoire dans ma cuisine pour mes thés & tisanes + un tiroir !

Un livre que vous devez lire si vous aimez, vous aussi, le thé et les histoires passionnantes ! La mémoire du thé, de Lisa See.

Les patins à roulettes des années ’80 et ’90

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Y a-t-il des activités ou des passe-temps pour lesquels vous avez passé l’âge ou perdu tout intérêt au fil du temps ?

Oui ! Le patin à roulettes. Petite, j’adorais patiner dans les rues de la capitale. J’ai commencé par des patins traditionnels, avec quatre roues. J’ai eu la simple pair avec la base en métal qui pouvait s’agrandir avec la pointure du pied et qui se fixait avec des attaches en cuir. Mais elle était vieille et lourde. Puis, vers 8 ans, j’ai reçu une superbe pair de Fisher Price, en plastique rigide, avec de belles couleurs vives (bleue et jaune, avec quatre roues- deux devant et deux derrière – orange ou rouge si je me souviens bien). Il y avait un bloc carré fixé à l’avant = le frein. Sur ces deux premiers modèles, il fallait glisser mes pieds chaussés dans chaque patin. Cela abîmait mes chaussures, donc, comme j’aimais tellement patiner (tous les week-end, même sous la pluie), j’ai assez rapidement reçu une magnifique paire de patins, toujours avec quatre roues, deux devant et deux derrière, avec la chaussure incluse. C’était vachement plus confortable et plus agréable. Encore plus tard, j’ai économisé pour avoir une nouvelle pair de patins, en ligne. C’était début des années ’90. Si je me rappelle bien, celles-ci étaient énormes comparées aux précédentes, la chaussure tenait plus de bottine. Rouge et noir. Le frein était en bout de ligne, situé à l’arrière.

C’est marrant, car si je ne me souviens pas qui m’a appris à patiner, je me rappelle très bien que j’ai rarement fait des chutes. J’étais très souple et plutôt douée. Quand mes enfants étaient petits et que ma fille voulaient s’y mettre, je me suis rachetée une paire de patins, en ligne, d’occasion. J’étais toute rouillée. Cela faisait 15 ans que je n’en avais plus fait, et j’avais déjà eu trois hernies discales, ce n’était vraiment pas une bonne idée. J’ai fait une vilaine chute sur les fesses et depuis, je n’ai plus jamais osé en refaire.

Mon premier ordinateur

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Décrivez votre premier ordinateur.

J’ai eu la chance de vivre, à l’adolescence, avec le deuxième mari de ma mère qui était un geek de son temps. J’ai commencé à pianoter sur son ordinateur, avec une grosse tour et un énorme écran. Les grandes disquettes, souples, carrées, j’ai connu, c’était à sa fin, car rapidement (pour moi) de petites disquettes plus rigides, avec un rond métallique au milieu et son rectangle, tout aussi métallique, au-dessus, qui glissait, sont arrivées. Je peux dire que j’étais là quand la boîte à connexion internet est arrivée pour un prix abordable pour « monsieur et madame tout le monde ». J’avais 16 ans, en 1996, quand j’ai reçu mon premier ordinateur « à moi », avec une boîte et sa connexion internet « abordable ». Le temps pour charger une page était infinie, comparativement à aujourd’hui, et la boîte faisait un de ces bruits pour signaler sa connexion au monde virtuel. J’enregistrais mes histoires, car oui, j’écrivais déjà à cette époque, sur ces disquettes « Floppy disk ». J’en avais de plusieurs couleurs et j’écrivais sur une étiquette ce qu’il y avait dedans. J’avais une boîte en plastique où je rangeais toutes mes disquettes, toutes mes histoires.

Je crois que j’avais commencé à écrire sur une machine à écrire que mon beau-père avait. Puis, vers 17 ans, j’en ai reçue une toute nouvelle, une électrique. Ouah ! Quelle époque !

Aujourd’hui, j’enregistre sur le disque dur d’un ordinateur portable et sur des clés USB ou sur le Cloud. Plus rien à voir avec mon adolescence. Je suis un peu nostalgique, oui, car mes histoires me semblaient plus « tangibles » sur une disquette (à faible capacité, petite mémoire) et plus facilement discernables. Aujourd’hui, j’ai des dizaines de dossiers, des centaines de fichiers que j’oublie souvent… J’ai imprimé 60 ou 70 % de mes écrits, pour garder une trace « physique ». Je n’ai pas confiance en la nouvelle technologie.

Incitation à l’écriture de WordPress

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Quel est votre domaine de créativité ?

L’écriture, sans conteste. La nature est ma muse, sans aucun doute.

Lecture, écriture, nature, le combo gagnant pour ma créativité.

J’aime aussi dessiner, une autre forme de vie qui sort du bout de mes doigts, des gestes dansants de ma main.

Si j’ai bien appris une chose en pratiquant le dessin et l’écriture et que personne ne peut dire qu’il ou qu’elle est nul.le dans ces domaines. Tant qu’on se fait plaisir, tant qu’on aime faire ce qui nous plaît, tout est réussite. L’expressivité sous toutes ses formes, rien de tel pour être libre et sourire à la vie. Alors, ne gardons pas nos trésors pour nous. Osons montrer ce qu’on sait faire.

Voici mes derniers dessins réalisés entre juillet et décembre 2024. J’ai toujours des difficultés avec les proportions, à bien placer les pattes, à faire une tête bien ronde ou des yeux bien dessinés. Même si mes dessins ne sont pas parfaits, c’est moi qui leur ai donné naissance et j’en suis très contente, j’aime le résultat final, un peu tordu, un peu disproportionné, un peu… personnalisé ! C’est ma patte.