Nanowrimo J28 : c’est fini !

J’ai fini d’écrire mon histoire, mon conte. Étrange sensation. Étrange sentiment. Un mélange de fierté et de tristesse. Une purée de joie avec quelques petits pois vides. Une soupe de bonheur aux vermicelles de fatigue mentale.

Je crois que j’ai un peu bâclé la fin. Mais je ne veux pas y revenir dans l’immédiat. Je vais laisser reposer l’histoire quelques jours, quelques semaines. J’y reviendrai quand j’en aurai envie. Alors, je le lirai d’une traite (ou pas, car il fait 55 pages). Et si je l’aime bien, peut-être que j’aurai envie de le corriger, de l’améliorer.

Défi d’écriture, bientôt la fin ?

En ce 24 avril, dimanche matin, j’ai pu écrire 4 heures d’affilée pour aligner 4000 mots supplémentaires ! Et, tout doucement, j’entrevois la fin de mon histoire.

Enfin, quand je dis ça, c’est parce qu’en ce moment, ma petite héroïne a pénétré le Château des Nuages et que l’ennemi l’a remarqué.

52 pages, ce n’est pas ma plus longue histoire, mais elle se retrouvera parmi les plus longues.

Et je puise beaucoup d’inspiration dans ma vie, dans ce que je lis, dans ce que j’entends, dans ce que je vois, dans ce que je… vis !

Si j’ai le courage, si j’ai fini l’écriture de mon conte avant le 30 avril, je tâcherai de faire une première lecture et premières corrections.

J’envisage de vous proposer la lecture de cette histoire sur mon blog, à raison de quelques pages par semaine.

A bientôt !

Beau dimanche.

Milan royal (ou Milan noir ?)

J23, on y croit !

Grrr, mon amoureux est venu casser ma belle lancée d’écriture du matin. Je suis fâchée. Bon, faut l’excuser, il est malade, le pauvre petit chou !

Cri du cœur d’une nanoteuse explosive (rires).

Blague à part. J’ai bien avancé, oui. J’ai réussi à faire une pause dans l’histoire pour pouvoir mieux poursuivre. C’est étrange comme sensation, comme ressenti : grâce à la magie, on peut vraiment faire tout et n’importe quoi. En fâcheuse position, nos amis (l’héroïne, son grand frère et leur mère) sont revenus à la maison. Là, ils ont pu se reposer et cela m’a permis de mieux réfléchir à la suite de l’histoire. C’était donc une pause dans l’histoire comme dans ma tête. Cela va permettre à mes héros de réfléchir à un plan, tout comme moi.

Hélas, dans la dernière aventure, le grand frère a mangé un champignon qu’il ne devait pas, il en a attrapé tout plein de boutons. Et comme l’histoire se passe en hiver, atchoum ! il a pris froid. Un peu à la manière de la BD « Benoît Brisefer », j’ai dû lui faire perdre toute sa force et toute son énergie, car il prenait un peu trop de place par rapport à sa sœur ! Une chose de réglée ;-)

Ma petite héroïne, aidée de son ami l’oiseau chanteur et d’un « Maître des Livres » extraordinaire, va repartir dans le Monde des Nuages affronter un terrible ennemi qui ne maîtrise pas sa magie (effet secondaire dû à un vieux sort qu’il a subi autrefois). Maintenant que j’écris ça, je crois que je vais écrire un gag sur cet ennemi, pour qu’il soit plus consistant, pour qu’il ai plus de personnalité… Bien sûr, sa quête initiale : sauver des animaux, reste la même. Toutefois, elle va réaliser, du haut de ses huit ans, qu’un plan, ça peut foirer, que des objectifs, ça peut changer et donc qu’une quête peut aussi ne pas être ce qu’elle pensait au départ.

Histoire à suivre ;-)

Vu la longueur de mon histoire actuellement, je crois que je vais devoir changer l’âge de ma petite héroïne et donc certains passages, car ça ne va pas aller pour les jeunes lecteurs (trop long).

22 jours d’écriture ou presque

Nanowrimo J22. Je n’ai pas écrit tous les jours. Je n’arrive plus à intégrer autant de titres de livres, car mon histoire s’écrit presque toute seule à présent (les titres de livres que je tiens à inclure, sont pour moi des « démarreurs » en cas de panne d’inspiration). Je vois la fin, mais pas encore la manière dont tout ça va s’agencer. J’en suis, je pense, au trois-quart de mon histoire, et il n’y a pas encore eu de rebondissement, d’intrigue, de mystère. Pfff ! Mais pour terminer ce soir ma période d’écriture, je viens enfin de mettre des mots, de faire arriver une confrontation entre le méchant pas très méchant et mon héroïne qui s’efface un peu. Donc soit, je n’en suis qu’à la moitié de l’histoire et il va falloir que je trouve d’autres idées, d’autres rencontres, d’autres quêtes ou je ne sais quoi, soit je la clôture rapidement, sans y revenir maintenant, mais en sachant que je vais la relire et la retravailler ultérieurement.

L’un de mes objectifs fixés est atteint : 25.000 mots

Il me reste dix titres de livres à intégrer pour réaliser mon second objectif.

J’ai envie d’ajouter une règle, de modifier mon contrat « nano » qui viendra en remplacement de l’objectif que je n’ai pas tenu, à savoir écrire tous les jours :

Aller jusqu’au bout de mon histoire, dépasser les 25.000 mots, ne pas m’arrêter au 30 avril

Qu’en dites-vous ? :-)

Nanowrimo J21 : un objectif bientôt atteint

Je suis à deux mots de la victoire pour « mon » Nano : l’un de mes objectifs est d’atteindre 25.000 mots le 30 avril.

A neuf jours de la fin, j’en suis déjà à 24.600 !

Quelques doutes, un rythme d’écriture et de créativité plus lents, car j’hésite à décrire trop de choses. Si j’ai bien une idée globale pour la fin de mon histoire, je n’ai pas encore tous les détails.

Mon méchant n’est pas vraiment si méchant que ça. Mon héroïne se fait voler le succès de la réussite de certaines quête par un personnage de second plan (son frère !). Va falloir que je remédie à cette affaire !

Bref, l’histoire suit son petit bonhomme de chemin et arrive tout doucement vers une fin heureuse. Car oui, je n’aime que les histoires qui se finissent bien :-)

Nanowrimo J19, petit à petit…

Une photo et la barre des 23.000 mots est passée !

Oui, je viens d’annoncer à ma famille que je deviens folle, j’écris de ces trucs de ouf ! J’aime ça, ça me plait, ça me fait sourire, parfois rire. Un gentil petit délire passager :-)

Dans mon histoire un peu bizarre, il y a plein d’animaux étranges : des Mésanges cendrée, des Loups rouges, des Grues tisseuses, des Ours bouclés… alors saurez-vous trouver leurs origines ? Où est-ce que j’ai pu aller les chercher ?

Ma lecture du moment m’aide énormément dans ma folie passagère. Il n’y a pas à dire, mes sources d’inspiration pour écrire ce Nano sont limpides comme de l’eau. « La maison aux mille détours », de Diana Wynne Jones, me chuchote ces grains de loufoquerie qui se glissent spontanement dans mon texte.

Quand je suis au repos, je ne pense pas trop au Nano, mais je me demande quand même si je suis capable d’écrire autre chose que ce genre d’histoire « mignonne mais sans grand intérêt ». Peut-être que pour le vrai Nano de novembre, vais-je me fixer un autre objectif sur le style de l’histoire à écrire : policier, thriller, enquête ? Mon camp Nano d’avril n’est pas encore terminé, mais dans ma tête, c’est tout comme, que je pense déjà au challenge de novembre 🤪 Et je crois que je vais lire « Qui a tué Glenn », de Leonie Swann, pour m’inspirer 😇 Si j’arrive à ne pas lire ce livre d’ici octobre ! Bien que je pense que cela sera facile vu le nombre de livres qu’il me reste encore à lire, j’imagine aussi qu’il doit exister d’autres histoires similaires à « Glenn », non ?

Je vous présente notre « bébé Minos », un beau chat de 3 ans et de presque 6 kg. Il croque la vie à pleines dents, rapporte des bâtons comme un petit chien, s’enfuit au moindre bruit, lèche le coude de notre fille dès qu’il est dans ses bras, miaule et parle comme si on le comprenait (bien sûr, on le comprend !) et rentre dans une caisse si petite qu’on le soupçonne d’être magicien.

Nanowrimo J18 : c’est reparti, on continue

Après une pause bienvenue de quelques jours, j’ai repris mon histoire principale (J0 à J9). Pour comptabiliser correctement le défi Nano, j’ai donc soustrait le nombre de mots que j’avais écrit le 10 avril.

En réalité, j’ai eu envie de continuer l’écriture de cette histoire grâce à une petite papote avec deux autrices liégeoises : Katia Lanero Zamora et AD Martel. C’est vrai que j’étais bien partie. Cela aurait dommage de m’arrêter en si bon chemin. Même si je ne suis pas sûre de savoir quoi faire de cette histoire une fois qu’elle sera terminée, j’aurai pris grand plaisir à l’écrire. Car oui, pour la publier, même en autoédition, il faut la relire et corriger et la retravailler et tout et tout. Et ça ! Oui, ça ! C’est mon gros point faible. Ma bête noire.

En attendant, voici la petite photo qui résume ma progression. Et en bonus, le graphique que j’utilise avec en bleu, ce que cela aurait donné si j’avais écrit tous les jours quelques 800 mots et en orange mon avancement.

Pour rappel, mes objectifs pour ce Nano particulier :

  • 30 titres de livres
  • 25.000 mots

Si je suis bien avancé côté nombre de mots, j’en suis à pile la moitié en ce qui concerne le nombre de titres de livres à intégrer dans mon histoire : 15.

J’ai choisi de parler de 13 animaux particuliers. J’en ai déjà décrit, bien parlé, de 3, j’en ai sauvé 2… je crois que mon histoire fera plus que 25.000 mots :-)