Mes yeux parcourent les entrailles de mon ordinateur. Par cette matinée déjà bien chaude (21°C sur la terrasse à 9h00), voici deux petits textes écrits début mai… quand il faisait frais, ha ! ha!
Je sens les pattes chaudes de mon chat sur mes jambes empyjamatées. La vibration de son ronron est apaisant et réchauffe le salon refroidi par une nuit glaciale et humide. Le félin se couche enfin sur mes genoux sans pour autant trouver sa position préférée : il veut encore une petite dose de câlin. Repus par ce moment de complicité, dans un nouveau sommeil, il va pouvoir enfin sombrer.
L’agenda était bien chargé, tant et si bien qu’elle n’a rien écrit de la journée. Pas su se poser, pas su se reposer, pas deux lignes, elle a su aligner.
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Joli petit texte ! J’ai bien aimé ton mot « empyjamatées »
Bises Cécile
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Coucou deux beaux petits textes, j’ai envoyé le mien pour la cinquième Anthologie, bisous très chaud!
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